Peace be upon you Et voici "Et la vie continue à Sarajevo..." enfin publié. J'ai attendu ce moment avec impatience et je dois dire que je ne regrette pas le parcours que j'ai fait. Il faut à tout effort, à toute création un prix à payer. Evoquer le drame de la Bosnie-Herzégovine c'est surtout parler de la haine déclenchée par des visées nationalistes qui n'ont menés qu'a la mort, la séparation, l'absence et les rancoeurs. Le référendum de février 1992 permettait à tout le monde de vivre unis dans une seule république Bosniaque et il a fallut le chauvinisme de quelques uns pour faire éclater la mosaïque. Qu'a t-on gagné à la fin ? Des tombes, des blessures et une envie de se venger. Inès la Bosniaque a incarné un idéal de femme que j'ai voulue positive malgré tout. Amal mon amie d'enfance à été la première à lire le manuscrit, tout de suite elle a appréciée la trame du roman :" Je me suis sentie happé par le drame, les personnages et ...
Commentaires
Intéressant ta façon de dire les choses, dis donc. Bravo! (Môa être plutôt philosophique). "Parti à jamais" ça veut dire qu'il a perdu son corps, mais il est vivant. Simplement tu ne le vois plus car toi et lui n'êtes pas dans la même dimension.
NOTE. Mon blog parle de la connaissance de soi. Si le coeur t'en dit, tu es bienvenue.