Parfois on oublie
Peace Be Upon You
Le salon du livre d'Alger s'est ouvert sous les auspices de la pluie, du vent et d'une nouvelle organisation qui m'a déplut. Cherchant un livre de Jeremy Rifkin, je l'ai trouvé aux éditions Faraby du Liban et dans une autre maison d'édition Libanaise j'ai pu revoir tous les titres de l'historien Libyen dr Salaby, un titre m'interessa celui de la querelle des Sahaba Ridhwan Alayhim. Je pense faire une troisième visite au salon au dernier jour de l'évènement et comme je viens de terminer avec les détails d'une conférence, je dois pouvoir écrire une recherche concernant l'histoire de l'occupation Française de l'Algérie. Il y a tant de chose à lire et à analyser, la semaine dernière j'ai reçue un ouvrage de deux tomes sur la résistance Algérienne dans les Aurès. Beaucoup de travail en perspective.
Avec le 1 Novembre, c'est une occasion pour nous souvenir des sacrifices d'une génération unique !
Plus jamais nous ne verrons des hommes ou des femmes de la stature de ceux qui ont pris les armes pour libérer notre pays !
Parfois on oublie que le martyr est le sacrifice suprême, qu'avons nous fait pour perpétuer ce martyr ? Rien sauf bien sûr se lamenter sur le devenir d'une Algérie qu'on ne reconnait plus.
Au cours de mon périple, je rencontre des gens plein de bonne volonté, ils veulent travailler sérieusement, faire sortir du marasme l'ensemble des Algériens mais voilà ils se heurtent à l'indifférence des uns, à la vindicte des autres et sans une bonne dose de l'amour du pays et la crainte de Dieu, ils auraient baissés les bras depuis belle lurette. Ce matin encore une responsable d'un hôpital est passé par les cuisines pour avoir une idée plus détaillée de la nourriture des patients, là elle a le pouvoir de rappeler à l'ordre les bras cassés.
Le salon du livre d'Alger s'est ouvert sous les auspices de la pluie, du vent et d'une nouvelle organisation qui m'a déplut. Cherchant un livre de Jeremy Rifkin, je l'ai trouvé aux éditions Faraby du Liban et dans une autre maison d'édition Libanaise j'ai pu revoir tous les titres de l'historien Libyen dr Salaby, un titre m'interessa celui de la querelle des Sahaba Ridhwan Alayhim. Je pense faire une troisième visite au salon au dernier jour de l'évènement et comme je viens de terminer avec les détails d'une conférence, je dois pouvoir écrire une recherche concernant l'histoire de l'occupation Française de l'Algérie. Il y a tant de chose à lire et à analyser, la semaine dernière j'ai reçue un ouvrage de deux tomes sur la résistance Algérienne dans les Aurès. Beaucoup de travail en perspective.
Avec le 1 Novembre, c'est une occasion pour nous souvenir des sacrifices d'une génération unique !
Plus jamais nous ne verrons des hommes ou des femmes de la stature de ceux qui ont pris les armes pour libérer notre pays !
Parfois on oublie que le martyr est le sacrifice suprême, qu'avons nous fait pour perpétuer ce martyr ? Rien sauf bien sûr se lamenter sur le devenir d'une Algérie qu'on ne reconnait plus.
Au cours de mon périple, je rencontre des gens plein de bonne volonté, ils veulent travailler sérieusement, faire sortir du marasme l'ensemble des Algériens mais voilà ils se heurtent à l'indifférence des uns, à la vindicte des autres et sans une bonne dose de l'amour du pays et la crainte de Dieu, ils auraient baissés les bras depuis belle lurette. Ce matin encore une responsable d'un hôpital est passé par les cuisines pour avoir une idée plus détaillée de la nourriture des patients, là elle a le pouvoir de rappeler à l'ordre les bras cassés.
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