Washington Belgrade Téhéran Jerusalem 6
L'attaché militaire de l'ambassade Américaine accueillit Grovne à sa descente d'avion, celui-ci l'écouta d'une oreille distraite. Il savait que les accords de Dayton n'était plus d'actualité et les Serbes et Bosniaques devraient se résoudre à revenir à la table des négociations pour arriver à un autre compromis, sinon la paix de la république Bosno-serbocroate éclaterait et la guerre civile reprendrait.
Patrick était beaucoup plus soucieux de ce qui allait advenir des négociations directes entre Américains et Iraniens. De la main, il fit au colonel Packward:
-Stop colonel, on va pouvoir régler le problème avec Belgrade et ne craignez rien pour nos hommes encore stationnés au Kossovo, Moscou tient en laisse Belgrade. Où est actuellement Gary ?
Packward quelque peut désarçonné, répondit:
-Il est en train de recevoir pour une visite de courtoisie l'ambassadeur Indien.
-Bien, qu'il me rejoint aussitôt après je vous prie.
-Ok.
Arrivé à l'ambassade Américaine, Grovne s'enferma dans l'une des pièces réservés à l'usage des responsables gradés du department of state. Il fit plusieurs contacts, une demi heure plus tard Gary Oak l'ambassadeur Américain à Paris le rejoignit, il s'entretint avec lui pendant un quart d'heure, ayant une idée claire de la position Française sur les prémices du conflit dans les Blakans, il prit un rapide déjeuner et revit son carnet de rendez-vous pour le lendemain.
Hadia Elkajir aussitôt arrivé à l'ambassade Iranienne à Paris fut reçu par l'ambassadeur qui lui donna un pli. L'ouvrant, elle comprit que le gouvernement Iranien lui donnait son accord pour être le négociateur exclusif avec les Américains et l'avait promu au double rang de conseiller du ministre des affaires étrangères et du président de la république Iranienne.
-Madame Elkajir, vous devez avoir le ok de monsieur votre mari, vous pouvez le voir tout de suite par satellite et en discutez avec lui.Déclara Ali Jawar
-Merci monsieur.
Patrick était beaucoup plus soucieux de ce qui allait advenir des négociations directes entre Américains et Iraniens. De la main, il fit au colonel Packward:
-Stop colonel, on va pouvoir régler le problème avec Belgrade et ne craignez rien pour nos hommes encore stationnés au Kossovo, Moscou tient en laisse Belgrade. Où est actuellement Gary ?
Packward quelque peut désarçonné, répondit:
-Il est en train de recevoir pour une visite de courtoisie l'ambassadeur Indien.
-Bien, qu'il me rejoint aussitôt après je vous prie.
-Ok.
Arrivé à l'ambassade Américaine, Grovne s'enferma dans l'une des pièces réservés à l'usage des responsables gradés du department of state. Il fit plusieurs contacts, une demi heure plus tard Gary Oak l'ambassadeur Américain à Paris le rejoignit, il s'entretint avec lui pendant un quart d'heure, ayant une idée claire de la position Française sur les prémices du conflit dans les Blakans, il prit un rapide déjeuner et revit son carnet de rendez-vous pour le lendemain.
Hadia Elkajir aussitôt arrivé à l'ambassade Iranienne à Paris fut reçu par l'ambassadeur qui lui donna un pli. L'ouvrant, elle comprit que le gouvernement Iranien lui donnait son accord pour être le négociateur exclusif avec les Américains et l'avait promu au double rang de conseiller du ministre des affaires étrangères et du président de la république Iranienne.
-Madame Elkajir, vous devez avoir le ok de monsieur votre mari, vous pouvez le voir tout de suite par satellite et en discutez avec lui.Déclara Ali Jawar
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